Algérie : le piège gaulliste

À la fin de la période longue et difficile dans la carrière de Charles de Gaulle, ce dernier emporte la cause de l’Algérie française, afin de s’emparer du pouvoir en 1958. Henri-Christian Giraud décide de peindre un homme déterminé à suivre son idée pendant l’affaire algérienne.

Il s’en fichait des réticences et des doutes des autres historiens, concernant le Général de Gaulle. D’après De Gaulle, l’indépendance n’était qu’un simple agrément octroyé avec répugnance. Elle n’était qu’une option anticolonialiste placée sous le signe du temps. L’indépendance était juste un procédé, un alibi pour la France pour se dégager d’une colonie, sans aucun espoir.

Le général de Gaulle a décidé de se dévouer à l’avantage supérieur de son pays. Pour cela, il doit affronter plusieurs obstacles, dont l’armée, l’avis public, l’Etat, les citoyens français, le média, les terroristes, les Européens d’Algérie, etc. Le général de Gaulle a réussi à faire briller les associations et l’indépendance.

Il était représentant de l’URSS, du FLN, du GPRA, ainsi que de son propre camp. Il a mis au point d’une main de maître une intrigue malveillante, un piège dont tous les acteurs d’antagonismes vont être conduire jusqu’à la tragédie finale. Charles de Gaulle a même annoncé qu’il ne se sent bien que dans la tragédie.