Nicolas Sarkozy : il n’est plus besoin d’être plus gaulliste

Selon les républicains, comme Nicolas Sarkozy, être gaulliste s’avère un comportement qui tombe en désuétude. Pour sa part, l’ancien président de la République française a pris l’initiative d’informer à ces concitoyens sa soif de voir son pays sous le régime « primaire ».

Sans oublier de réclamer l’unité et la ressemblance, Sarkozy invite les peuples à interpréter le gaullisme d’une autre manière. À l’ère où le général n’est plus, le changement de comportement politique s’impose, selon  l’ancien président. Selon lui, dans la Vème république, le gaullisme évoque la relation directe entre un homme et le peuple. D’ailleurs, le gaullisme reste encore une tendance très vague. Mais, présentera-t-il réellement des avantages sur la recherche des solutions efficaces contre le chômage en France ?  Avant, si le gaullisme a pu fonctionner, c’est parce qu’il a pu gagner son ampleur dans un territoire ayant une monnaie, un plan quinquennal et des frontières.

C’était l’époque où il est bel et bien possible de sortir de l’Otan le jour et de définir le prix du pain le lendemain. Sans doute, les gaullistes peuvent nier ses promesses, sachant qu’ils ont été élus par voie électorale, grâce à leur propre personnalité et non par leur programme.